• sur le chemin qui s’incline je prie le ciel !

     encore assise!! bol d'air près de l'océan de l'autre coté de la barrière  sous mon regard , inconsolable  qui n'a pas de souvenirs près de ces bancs improvisés, et  pendant ce temps le vent déshabillent les arbres  et les feuilles d'or tombent en rafale !! dans la faible lumière le vent s ' époumone  sous un petit vent frisquet et le soleil palissant  alors j'avance seule et triste dans cette allée !!!   ma peine et mes regrets ne lâchent pas prise!!!!  monette

    « La pharmacie de l'âme !!!!!! quand les mots dansent sur la mélodie !! »
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  • Commentaires

    5
    Vendredi 2 Octobre 2015 à 16:03

    un joli texte Violette et une belle photo,je trouve qu'il fait frais aujourd’hui malgrès  le soleil,je te souhaite un très bon Vendredi,bises

    4
    Jeudi 1er Octobre 2015 à 19:09
    3
    Mercredi 30 Septembre 2015 à 19:19
    2
    Mercredi 30 Septembre 2015 à 19:11

    un banc bien utile pour se détendre

    1
    Mercredi 30 Septembre 2015 à 19:09

    On a beau prier,  se battre comme un(e) lion(ne), faire tout ce qui est en notre pouvoir pour avoir ce que l’on désire, mais sans résultat. On peux se prendre la tête pendant des années et essayer mille solutions, rien ne marchera.

     

     

    Il n’y a qu’une seule chose à faire :  Arrêter tout combat !

     

     

     

     

    Lâcher prise !

    J’ai aimé un homme. Je l’ai voulu si fort, plus que tout. J’ai tellement souffert pour lui. Je l’ai tellement aimé. Vous voyez ce qui cloche ? Le mot « Tellement ». Je crois que j’ai tout fait pour lui, pour qu’il m’aime… Mais une chose très particulière se produisait : Avez-vous déjà vu un aimant qui repousse un autre aimant ? C’est ce qui se passait avec lui. Au lieu de l’attirer, je le repoussais.

    Et bien, il en va de même avec tous les objets de notre désir…

    Tout ce que je veux plus que tout, je ne l’aurais jamais tant que je le voudrais autant.

    Ce que la vie nous enseigne…

    Je sais ce que vous vous dites : Les lois de la vie sont cruelles ! Car, à quoi cela sert-il d’avoir quelque chose ou quelqu’un quand on ne le désire plus ? 

    Faut-il ne plus le désirer ?

    Deux exemples personnels pour bien comprendre :

    - Il m’est arrivé de vouloir plus que tout l’approbation d’une personne proche et de passer par toutes les émotions, la colère, la tristesse, etc …car cette personne restait sourde à mes signaux. Puis, je m’en suis détachée, petit à petit, j’ai accepté cette personne telle qu’elle était, j’ai travaillé sur moi et donc j’ai repris confiance en moi. De fil en aiguille, je ne désirais plus rien de cette personne, mais je l’aimais toujours et je l’accueillais toujours. Et puis, un jour, sans que je m’y attende, de la manière la plus surprenante, cette personne m’a écoutée et j’ai lu son admiration pour moi  dans son regard. C’était bizarre, car bien sûr cela m’a fait plaisir, mais j’ai senti que cela m’était égal à présent, que si elle ne l’avait pas fait, j’aurais eu autant de plaisir. Je suis devenue indifférente à son approbation.

    - Il m’est arrivé de désirer une robe magnifique que j’avais vue dans une vitrine. Mais je suis repartie triste car je ne pouvais pas me la payer. Et puis, je l’ai vue sur une autre fille. J’étais encore plus triste et jalouse avec ça.

    Ensuite, j’ai totalement oublié cette robe. C’est alors que, quelques mois plus tard, je l’ai trouvée dans un magasin, soldée à…..moins 70% !!! Pensez-vous que je l’ai achetée ? OUI !!! mais j’ai hésité… car bizarrement je ne l’aimais plus autant. La robe n’avait pas changée, mais mon regard si.

    En réalité, la vie nous enseigne quelque chose de très important. Nous voulons à tout prix comprendre et contrôler les situations et les personnes. Nous confondons maîtriser notre vie et la contrôler. Nous pensons avoir raison et la vie nous enseigne que nous avons tord. Elle nous enseigne qu’il s’agit d’une vision réduite, d’un point de vue, d’une croyance, et non de la vérité.

    La vie nous enseigne que la vérité, le bonheur, et tout ce que nous désirons, est beaucoup plus simple, plus léger, plus amusant à obtenir que ce que nous forçons à avoir.

     

    Donc bonne nouvelle : Nous pouvons continuer à désirer ce que nous voulons mais  en toute légèreté, puis l’oublier. Nous ne devons plus nous soucier du « comment » ni du « quand » ça va nous arriver.

    Le vrai lâcher prise

    Le vrai détachement, le vrai lâcher prise, ce n’est pas la résignation. Le vrai lâcher prise, c’est continuer à être heureux de vivre même si nous n’avons pas ce que nous désirons. Le vrai lâcher prise c’est prendre plaisir à ma vie telle qu’elle est maintenant. Le vrai lâcher prise c’est faire confiance à la vie, c’est savoir que tout va s’arranger et c’est se foutre totalement  du résultat. Je sais, je sais, ce n’est pas facile…mais c’est désirer quelque chose et ne plus s’en inquiéter et continuer sa vie en étant heureux.

    Lâcher prise c’est laisser les commandes à plus haut et plus fort que nous.

    C’est dire : « Ok, j’admets que je ne sais pas faire ». « Ok, Dieu, je te laisse les rênes de ma vie ».

    Les résistances

    Alors, pourquoi alors est-ce si difficile ? Alors, que nous nous décidons à lâcher prise, une armada de défenses va se mettre en place :

    - l’ennui

    - l’auto destruction : je suis nul(le), je n’ai pas réussi, etc…

    - la résignation

    - la tristesse

    - l’inquiétude

    - la déception

    - la colère

      

    C’est encore notre égo, notre intrus qui nous joue des tours !  (voir mon article L’intrus). Notre mental nous sort alors toute la batterie de résistances pour nous déstabiliser et nous faire renoncer à lâcher prise. Car pour le mental, lâcher prise revient à abandonner, donc à mourir.

    Mais lâcher prise ne veut pas dire arrêter de faire ce que l’on fait. Ni arrêter d’aller vers ses objectifs.

    Lâcher prise, c’est modifier l’enjeu.

    C’est prendre du plaisir à faire ce que l’on fait maintenant, sans attendre de résultat.

    Pourquoi « lâcher prise » attire la chance ?

    Parce que la vie ne souhaite qu’une chose : nous apporter ce qu’on désire le plus.

    Mais nous l’en empêchons ! Nous nous faisons souffrir inutilement.

    Pensez-vous que si on vous force à faire quelque chose, vous allez dire ok ? Personne n’a envie d’être forcé. La vie non plus. Elle sait ce qu’on désire mais veut le faire à sa manière !

    J’ai souvent perdu ce bonheur de vivre maintenant. J’ai souvent espéré, attendu, désiré, forcé les choses. « Quand j’aurais de l’argent, je commencerais à faire ceci ou cela » ; « quand je serais heureuse en amour je pourrais me consacrer à… » quand, quand, quand …. ou encore : « Si telle personne fait ceci, je serais le /la plus heureux (se)…. » etc…

    Perdre à ce point le bonheur de danser avec la vie, le bonheur de vivre maintenant et on est totalement sorti du chemin. La vie est là, ici et maintenant.

    Un indicateur précieux : Si vous perdez le plaisir de faire ce que vous êtes entrain de faire, si la légèreté et la joie de vivre font place à  la lourdeur, l’inquiétude et l’angoisse, vous n’êtes plus dans l’acceptation et le détachement. Il est temps de vous poser, de vous questionner, de revoir vos enjeux et de vous recentrer sur ce que vous vivez maintenant. Il est temps d’aller vous amuser, de penser à autre chose, d’aller danser ou faire un bon jogging !

     

    Il est temps d’oublier votre problème et de le confier à l’Univers. 

     

     

     

     

     

     

     

     

    Car, quand je dis que je n’ai jamais « lâché », il faut comprendre « abandonné ». Abandonner c’est ne plus y croire. C’est ne plus croire en soi et en la vie. Alors que lâcher prise, c’est tout le contraire : C’est croire en soi, faire confiance à la vie, savoir que tout va s’arranger mais ne pas tout le temps penser à l’enjeu final. C’est se concentrer sur le pas qu’on fait maintenant.

    La chance vient à nous quand nous avons l’attitude adéquate pour l’attirer :

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