l Assise sur un banc d'un étangge petit matin entre vagues et rivage et l'indicible souffle du vent Et ses fleurs de  d'ajoncs et de genêts S’accordent au langage de lumière Dans ce bleu sans tâche douce lueur De ces vagues qui se perdent sans lasser l'horizon entre les matins crémeux et les soirs émouvants
Et les soirs émouvants l'océan se découd au rythme des ses reflets et les vagues rident la surface,
Le buisson de genêts frémit sous la caresse du vent monette

Les genêts, doucement balancés par la brise Sur lande font des boule d'or cette fleur toute d'or, de lumière et de soie Et dont les lourds parfums semblent être venus de la plage dans la fraîcheur du matin toute La lande se pare de jaune Les genêts embaument cette nature sauvage faite d'aridité et de splendeur Le sourire du ciel éblouit cette mer et tout le paysage respire et le jaune scintille qu'il fait bon Marcher sur la lande dans l'odeur des genêts et suivre le petit chemin qui mène à la mer Où les mouettes semblent être maîtresses des lieux et sont à peine troublées quel silence quel merveilleux endroit et rien ne peut troubler cet état de bien être monette