pardonnez moi je n'est pas de mots devant tant de beauté  entre les embruns et  les genêts  empreinte de sérénité et une mer luisante et dorée sur ce petit sentier des douaniers le spectacle est fascinant et permanent rien qui ne puisse m' échapper je n'est pas envie de partir je veux juste me recueillir et entendre tu le bruit des vagues, le flux et le reflux des marées  qu'il est bon de sentir l'’odeur de l’air marin de marcher dans le varech et le goémon Le sourire du ciel éblouit cette mère tout le paysage respire et le jaune scintille Je me suis avancée, dans l’odeur des genêts dans l'odeur  enivrante toutes les couleurs accompagnent mes pas dans le sable je ne sens même plus le chaud et le froid J’entend   juste le silence, et le bruit de l’eau  monette

 L’univers marin ne cesse de nous étonner ces rochers sont des Fontaines du soleil pluies de lumières Qui dorent l’Océan à l’heure du couchant la vague berce la plage côtière du murmure incessant du roulis de son couchant  et de cet cet or liquide niché dans cette immensité mordorée c’est somptueux L’air vivifiant mêlé aux senteurs dans le vent mais Pourquoi ce flux d’ardeur et cet apaisement Dans la contemplation et dans le mouvement de l'horizon sans fin
 et de la vaste mer Est ce le souvenir perdu dans ma mémoire de ces commencements d’où naquit mon  histoire ou la fin promise d'un avenir amer .... monette