J'admire au passage ces roses trémières qui s'élancent vers le ciel, frôlant les murs de pierre. cœur de papier froissé sur leur très hautes tiges elles sont si élancées, si déliées, si altières et dès le moindre souffle de vent elles crée à leurs manière le plus beau des ballets celui de la brise marine elles se contentent de plaire à qui veut les aimer se tendant vers les nues qui semble les attirer ont peux les voir parfois 
trembler sous les  vents  d'été se plier et se tordre et même s'entrecroiser espérant l'accalmie pour redresser la tête en remerciant le ciel de n'être pas brisées pour moi elles sont l'âme des marées, l'angélus et la prère du soir monette