la nuit s’étire doucement,  câline et frémissante, le visage fouettée par les embruns, et le par le vent venu de la mer, je reste là immobile.. et je me dis dieu que c'est beau, si j'étais la vague , j'irai en signe d'admiration  saluer les étoiles en  fermant les yeux sur cette image toi qui me fait tant rêver monette

aujourd'hui, quelle est-t-elle , cette prière ? je ne sais plus.
un peu la même, c'est certain , un peu différente aussi, elle se teinte d'un autre sentiment   je veux ici sentir le  vent du large;  je suis comme  fascinée happée. je suis là , comme hypnotisée. le large e est si calme !! mais il se fait tard il faut rentrer. monette