quel beau Jupon et dentelles dansant en ribambelle la tarentelle tandis  quelle Elle me  regarde la vague si haute si blanche dans les rouleaux impétueux et rythmés La sensation est immense et presque charnelle mais au loin la mer loin de folles explosions laisse rouler ses vagues ignorant  l'exubérance de ces remous impétueux un jour de septembre la vague éclate au soleil c'est l'été indien  monette

 Sur la grève un grand bois flotté et dire qu'autrefois c'était un arbre avant de venir s’échouer sur le sable blanc de la plage  et combien de temps est-il resté
dans l’eau salée qui l’a rongé à ce point Il est mort mais il est fort beau, tel une sculpture d'art moderne ce morceau de bois  venu venu d’on ne sais où
apporté par le flot craché par la tempête la branche vermoulue gisant sur le lit du sable épave torturée là ou coulais la sève monette