une barque sur l’estran abandonnée pas de rames pas de pêcheur à ses cotés une corde sur le sable pour l’amarrer au sein des eaux dormantes Le crépuscule est là, pas un souffle ne ride
La surface endormie aux rêves dans une nature endormie ils vont rencontrer les gelées
Les nuits peuplées d'insomnies et des étoiles sans clarté  monette

 Levant la tête, je vois des masses blanches découpant un ciel bleu. c es merveilleux nuages Il faut regarder le ciel. Intensément. c’est un immense manteau qui nous recouvre de sa beauté, de sa chaleur lumineuse et de ses mystères Dieu est assurément un peintre. Vous avez vu ses nuages, ces énormes toiles peintes en pastel sur le tableau immense du ciel  monette